Et si la médecine d'aujourd'hui n'avait rien à voir avec celle d'autrefois ?
Et si celle-ci était devenue déviante, inféodée de toute part et altérée au point de s'écarter de son rôle originel ?
C'est le sujet controversé et à la fois primordial que nous aborderons lors de cet article. L'antithèse d'une médecine sclérosée et emprisonnée dans ses dogmes rédigée suite à l'intervention d'un intervenant expérimenté et riche en savoir : François Bleuez, invité régulier sur notre antenne aux analyses et aux pratiques récurrentes sur le sujet.
Nous inviter à l'essence de la vie, c'est à dire le mouvement. Revenir aux origines de la guérison liées aux principes même de la nature. Entrevoir, assimiler et saisir ce qu'est la bioélectronique. Quand la médecine ancestrale nous invite à revenir aux sources et aux origines de celle-ci.
Il est à noter en préambule que la prévention est faible avec la médecine actuelle. Il y a certes la médecine du travail, les campagnes télévisuelles et publicitaires nous invitant à manger 5 fruits et légumes par jour et d'autres annonces occasionnelles mais cela reste globalement très limité voire parfois totalement risible.
Cette parenthèse est loin d'être anodine et prendra toute son importance un peu plus loin au sein de cet article.
Définition originelle et symbolique du mot médecine
« Med » : le préfixe du mot médecine
Quand on pense le mot « médecine », il est préférable d'opérer une réduction mentale du concept permettant d'inclure tout ce que celui-ci représente.
Le mot « Mede » commence par la lettre M. La lettre M une fois dessinée représente la position d'une femme qui met bas (la Maman, la Matrice). Cette inflexion au centre de la lettre M s'apparente à la position ancestrale de nos mères lors de leurs accouchements : la position accroupie (ou debout en pliant les jambes).
Le mot « Mede » nous fait également penser à la méditerranée ainsi qu'à Archimède. Historiquement, le pourtour méditerranéen a toujours été englobé de littoraux portuaires provenant de pays précurseurs au niveau de la science. Archimède, quant à lui, est réputé pour être un des plus grands scientifiques de son époque (physicien, astronome, ingénieur et mathématicien).
On pourrait également citer le peuple des Mèdes, une civilisation avant-gardiste datant d'environ 1000 ans avant Jésus Christ, ayant réussi à créer un empire à partir de ses avancées scientifiques (en avance sur son époque).
Il est également intéressant de noter que l'inverse du mot « Mede » donne le mot « Deme », soit le demos donc ce qui est en bas du peuple. Si on remplace le premier « e » de « deme » par un « a » en s'appuyant sur les similitudes de ces deux lettres grâce à la gématrie : on obtient alors le mot « Dame » faisant référencer au verbe damer soit l'action de mettre à plat (une piste, un terrain, une question..).
Par conséquent, si le mot « deme » représente le fait de mettre à plat, le mot « med » quant à lui revient à mettre en pic, à contraster, à demeurer le versant voire l'opposé du plat.
Pour conclure la racine « mede » du mot « médecine » pourrait nous renvoyer à la connaissance du sommet de ce qui est plat. En d'autres termes, à des pointes qui surgissent au fur et à mesure du temps nous renvoyant à une collecte de savoir, de plantes et d'expériences nous permettant d'améliorer notre santé au quotidien.
«cine» : le suffixe du mot médecine
Ce suffixe fait en premier lieu penser aux mots cinéma et cinétique donc à la notion même de mouvement. Il est donc étymologiquement évident que la médecine fasse directement allusion à la science du mouvement. Pour cela il suffit tout simplement de juxtaposer la signification du préfixe (évoquée ci-dessus) à celle de ce même suffixe.
Une science liée aux savoirs traditionnels et ancestraux
François Bleuez témoigne avoir étudié et constaté que cette signification non conventionnelle du mot médecine a été dévoilée de manière récurrente à travers une multitude de civilisations au cours de l'histoire.
Cette symbolique a certes été déclinée de différentes façons, notamment à travers la religion musulmane dans laquelle on retrouve une prière au levé, au milieu ainsi qu'au couché du soleil. Il s'agirait donc d'horaires spécifiques liées encore une fois au mouvement des astres, des horaires, des solstices, des équinoxes..
Le mouvement est également lié à l'eau, aux fluides, aux rivières ainsi qu'aux liquides. La comparaison est donc parlante lorsqu'on saisit à quel point tous ces éléments éprouvent un besoin radical de rester en mouvement afin de ne pas croupir. Une analogie marquante de plus, en sachant que notre corps est composé à plus de 60% d'eau.
Les principaux facteurs de mauvaise santé de nos jours
En reprenant les données actuelles de la science, François parvient à entrevoir certaines conclusions en rapport à cette question fatidique.
Le tassement vertébrale
Il s'agirait, selon lui, du première facteur de mauvaise santé au sein de la population mondiale à ce jour. Il serait lié à deux causes distinctes :
• Le port de charges lourdes : les travailleurs au Pérou opérants au sein de mines à ciel ouvert ont mis en exergue cette problématique. Il a été conclu que cette population vivait en moyenne 14 ans de vie en moins qu'un autre être humain lambda.
La pression des différentes charges sur les vertèbres expulserait le liquide intervertébrale de manière conséquente, laissant ainsi place à un bio dynamisme fortement perturbé ainsi qu'à une fuite des colloïdes. Ce phénomène serait donc principalement responsable d'une perte de vitalité générale au sein de l'organisme humain.
• La position assise : elle bloquerait par nature les phénomènes de bascule du bassin et aurait comme impact ni plus ni moins que 20% de durée de vie en moins.
Une personne avec un travail sédentaire, assise 7 heures par jour et 5 jours sur 7, aurait statistiquement 20% d'espérance de vie en moins, ce qui démontre une fois de plus et de manière contre-intuitive que le mouvement est l'essence même d'une bonne santé.
🧐 Cette donnée demeure inconnue : l'opinion publique pense encore qu'un travail manuel est plus propice aux dégradations de santé précoces dans la vie d'un homme.
La méthode Glenn Doman, la gymnastique et le sport pourrait éventuellement palier à cette problématique largement contemporaine. Encore faudrait-il appliquer ces palliatifs à des fréquences régulières afin d'espérer survivre à cette posture assise étant originellement peu naturelle.
Les dents dévitalisées et les toxines buccodentaires
Il s'agit là de toxines bloquantes pour l'évolution physiologique d'un être humain à mettre en parallèle avec la ligature des trompes, l'athérome et différents autres cofacteurs. La toxicité de ces problématiques est comparée, selon François en guise d'exemple, aux effets de la dioxine provenant des incinérateurs.
En d'autres termes il s'agirait de facteurs aggravants voire catastrophiques vis à vis de l'organisme humain étant à l'origine d'une multitude de maladies actuelles.
La pollution alimentaire
Celle-ci tue littéralement le microbiote intestinal. Modifier son alimentation en évitant au maximum les produits chimiques serait la solution la plus simple et abordable afin de palier à ce phénomène.
Nous vous invitons au passage à aller visionner notre entrevue avec Corinne Gouget sur ce même sujet. Elle explique et détaille en profondeur tous les points et éléments intrinsèquement liés à ce que l'on appelle la malbouffe.
Réensemencer le microbiote de manière régulière à l'aide de prébiotiques et/ou de probiotiques aiderait également à survivre à cette ère moderne. Ère dans laquelle nous ne savons quasiment plus ce que nous ingérons au quotidien.
L'oxydation du sang
Dernier facteur et non des moindre car il vient boucler la boucle de cet article voulant démontrer que la médecine originelle est bel et bien liée à la science du mouvement. Pour cela nous allons détailler, dans un premier temps, ce qu'est la bioélectronique d'un point de vue théorique.
Bioélectronique : la médecine du futur ?
Notre sang a t-il un taux de résistivité sanguine adéquat ? En d'autres termes : a-t-il réussi à brûler les toxines en son sein ? Notre taux d'oxydation de celui-ci est t-il également dans la moyenne, en marge, ou dans une zone dangereuse ?
Voici quelques questions auxquelles François répond en expliquant le béaba de ce qu'est cette science encore méconnue du grand public.
Un certains taux d'oxydation dans le sang peut être handicapant voire à l'origine de différents types de maladie entraînant une réduction de notre temps de vie.
Il s'agit encore une fois de la notion de mouvement, plus particulièrement de dynamisme au niveau des cellules. La matière (en l'occurrence ici le sang) trop oxydée en déficit d'électrons internes n'active plus les réactions physiologiques adéquates.
En bioélectronique, la quantité d'électrons assimilée au niveau de l'oxydo-réduction sanguine peut être ainsi mesurée. Le juste milieu au niveaux des électrons présents dans le sang serait idéal pour l'homme comme l'indique François. Les barrières à ne pas franchir seraient donc : l'excès et le déficit.
Vous désirez en savoir davantage et comprendre plus amplement ce sujet ?
N'hésitez pas à visionner notre entrevue avec François Bleuez sur les origines de la médecine.
Pour ceux qui désireraient passer directement de la théorie à la pratique, nous vous conseillons la seconde partie spécialement dédiée à la bioélectronique.