Le 2 août 2025 marque une date clé pour la communauté ufologique : le lancement du troisième volet d’un événement désormais incontournable dans le paysage dit "galactique"
Cette nouvelle édition, placée sous le signe de l’audace, annonce un tournant majeur en promettant rien de moins qu’un premier contact physique officiel. Une promesse ambitieuse accompagnée d’un slogan percutant, posé comme une interpellation directe au public : « Êtes-vous prêts ? »
Préparer la population à l’éventualité d’un premier contact : telle est l’ambition que se sont fixés Chris Essonne et Agnès Leray, fondateurs de ce rendez-vous annuel. Le public, invité à devenir ambassadeur d’une divulgation attendue depuis des décennies, a pu assister durant deux jours à une série de conférences animées par de nombreux intervenants venus partager leurs analyses, témoignages et révélations.
Mais qu’en est-il réellement ? Quels messages ont-ils été délivrés ? De quelle nature sont les informations qui ont été rendues publiques ? Et surtout — la question qui brûle toutes les lèvres — des objets volants non identifiés ont-ils répondu à l’appel ?
Notre équipe, présente sur place, vous propose un compte rendu exclusif, à la fois précis et complet. Attachez vos ceintures : le voyage s’annonce au-delà des frontières connues, là où la réalité semble parfois — et même bien souvent — dépasser la fiction.

Alors, perchés ou pas perchés ?
Face au thème abordé et aux intervenants souvent considérés comme controversés, voire largement diabolisés par les médias traditionnels, la question se posait légitimement : à quoi s’attendre ? Trop souvent, lorsqu’il est question de vie exogène et de phénomènes extraterrestres, les raccourcis médiatiques prennent le dessus sur la nuance et la rigueur.
Pourtant, la réalité fut bien différente. Les sujets, aussi extraordinaires soient-ils, ont été traités avec un sérieux manifeste, souvent sous un angle scientifique et factuel. Nombre d’interventions furent accompagnées d’illustrations pédagogiques et d’explications détaillées, donnant aux conférences une tonalité sérieuse, parfois même académique.
Qu’elle ait été préméditée ou non, cette démarche a eu pour effet direct de désarmer les critiques récurrentes de certains zététiciens et de leurs relais dans la presse nationale. Ces derniers avaient par le passé caricaturé des événements similaires — tel le symposium Exovision — en les réduisant à de simples spectacles folkloriques, voire en les assimilant à des rassemblements sectaires.
Aux Rencontres Galactiques 3, les faits ont pris le pas sur la mise en scène. Si une part de spectacle a subsisté, elle est restée discrète face à la densité d’informations transmises au public — des contenus parfois complexes, mais incontestablement riches.

Une Elena Danaan au sommet de son art
Malgré les réserves que peut susciter son récit — notamment en raison d’une version de la genèse en contradiction directe avec celle de Cyril de l'arche du savoir, relatant une histoire des Anunnakis et présentant la figure d'Enki comme bienfaiteur de l’humanité et « empereur galactique » — force est de reconnaître qu’Elena parvient à captiver son auditoire. Elle dégage une énergie sereine qui incite à la réflexion.
Son témoignage, à la fois incroyable et hors du commun, ne laisse pas indifférent. Archéologue de formation, elle affirme avoir été enlevée par les « petits gris » avant d’être secourue et protégée par une civilisation extraterrestre qu’elle désigne sous le nom de « grands blonds ». Selon elle, ces derniers lui auraient implanté un dispositif quantique permettant une communication permanente, et l’auraient conviée à bord de leurs vaisseaux pour de nombreux voyages intergalactiques, lui ouvrant ainsi les portes des mystères de notre galaxie.

Fonctionnement des vaisseaux de la confédération intergalactique
Selon Elena, les vaisseaux interstellaires qu’elle décrit sont composés de segments interconnectés, chacun alimenté par de puissantes impulsions électriques à haute tension et dotés de condensateurs extrêmement performants. Ce système offrirait, d’après ses explications, une manœuvrabilité exceptionnelle, permettant des déplacements à très grande vitesse, avec la capacité d’effectuer des virages à angle droit, en courbe ou selon des trajectoires complexes.
Son exposé, dense en données techniques, aborde des notions comme les champs de torsion, les particules d’éther, l’antigravité, les dynamiques d’énergie toroïdale ou encore la composition atmosphérique des zones traversées. L’ensemble de ses propos est appuyé par une documentation visuelle riche : croquis réalisés à la main ou générés à l’aide de l’intelligence artificielle viennent illustrer ses affirmations.
Mais l’aspect le plus surprenant de sa présentation réside sans doute dans sa description de la structure même des vaisseaux, qu’elle qualifie de « peau ». Bien qu’elle précise qu’il ne s’agit pas d’un organisme vivant, elle parle d’une matière organique synthétique, semblable à un caoutchouc souple ou à une gelée compacte, sensible aux champs électromagnétiques.
Cette coque, selon elle, serait réactive et animée par une intelligence artificielle embarquée, ce qui rendrait les interactions avec l’engin radicalement différentes de celles que l’on connaît avec les technologies terrestres actuelles.
Notre mission sur terre : évolutive ou involutive ?
La réponse d’Elena Danaan à cette question nous a réservé une agréable surprise. Contrairement à une partie de la mouvance ufologique, souvent centrée sur les textes sumériens et empreinte de gnosticisme idéologique, elle a pris une position claire : selon elle, nous évoluons bel et bien sur cette Terre, et c’est à travers nos multiples incarnations que nous progressons vers une version plus accomplie de nous-mêmes. Elle écarte ainsi la théorie de la « Terre prison ».
« Le créateur est la création », affirme-t-elle, insistant sur la dimension fractale de la source universelle. Chacun, selon son propos, représente une parcelle du divin en pleine expérimentation. C’est dans ce cadre qu’elle aborde le phénomène des starseeds, expliquant que les cycles d’incarnation se poursuivent également sur d’autres planètes, à l’exception notable de ceux qu’elle désigne comme les « missionnés ».

Chris Essonne et le générateur de Phryll
Coorganisateur de l’événement, Chris Essonne ne s’illustre pas uniquement par son rôle logistique. Il est également à l’origine de recherches autour de ce qu’il nomme le « générateur de phryll ».
Ce projet repose sur des informations que lui auraient transmises Elena Danaan et Dan Willis, elles-mêmes attribuées au Pléiadien Jen Han Erédyon depuis avril 2022. Si la science des cristaux avait été mise en lumière dès les années 1980 par Marcel Vogel, elle se verrait aujourd’hui enrichie par les apports de Jen Han Erédyon.
Le phryll, selon cette approche, représenterait l’énergie fondamentale de l’univers : issue d’ondes scalaires générées dans un champ de gravitation, elle constituerait la source vitale des organismes vivants. Cette énergie universelle est également connue sous d’autres appellations : Prana, Chi, Qi, Orgone ou encore champ de torsion.
Dans ce cadre, Chris Essonne a présenté un prototype de générateur de phryll conçu pour dynamiser l’eau circulant à travers une spirale. Des travaux complémentaires sont en cours afin de vérifier, d’un point de vue moléculaire et donc scientifique, si les caractéristiques de cette eau se trouvent effectivement modifiées.

JP : un soldat pas comme les autres
Sur le plan humain, ce fut sans doute la rencontre la plus marquante de l’événement. Nous avons eu l’opportunité d’échanger longuement, en privé, avec lui et sa compagne. Une expérience qui nous permet d’attester, au minimum, de l’aura singulière et de l’énergie bienveillante et galvanisante qu’il dégage.
Quant à la cagoule qu’il porte en public, la raison est simple : une mesure de sécurité destinée à protéger son identité et, par extension, sa famille. La révélation de son visage pourrait, selon lui, l’exposer à de lourdes conséquences devant le Congrès américain, compte tenu de ses multiples divulgations.
Car rappelons-le : cet homme se présente comme un soldat américain engagé dans des missions confidentielles relevant du secret d’État. Ses témoignages évoquent des opérations menées par les forces armées des États-Unis dans des lieux aussi inattendus que des arches spatiales, la Terre creuse, la Lune ou encore Saturne. Autant de récits qui, de son propre aveu, relèvent de programmes secrets auxquels il aurait participé en tant qu’agent des forces spéciales.
Des révélations incroyables, dépassant de loin les scénarios de science-fiction les plus audacieux. Nous aurons d’ailleurs l’occasion de l’accueillir prochainement sur notre antenne afin d’approfondir ces sujets.

De grandes figures de l'ufologie ont répondu à l'appel
Les grandes figures de l’ufologie internationale ont également pris part à l’événement, cette fois par visioconférence. Dan Willis a proposé une rétrospective historique des faits marquants liés à l’exopolitique depuis le début du XXᵉ siècle.
Le Dr Michael Salla, pour sa part, a présenté une analyse du rôle de la Chine et de ses programmes secrets en lien avec une possible ingérence extraterrestre. Quant à Tony Rodriguez (présent sur place), il est revenu sur son expérience en tant que remote viewer (vision à distance), au service, selon lui, de plusieurs officines occultes.
Parmi les intervenants de renom, citons également Paul Stonehill. Originaire d’URSS et établi aux États-Unis, cet auteur, conférencier et chercheur reconnu pour ses travaux sur l’ufologie et les phénomènes paranormaux russes et eurasiens, est intervenu pour aborder un sujet fascinant : celui des phénomènes marins non identifiés.
Par souci de discrétion, nous ne détaillerons pas davantage le contenu de leurs interventions. Il convient toutefois de rappeler que l’intégralité de ces conférences sera prochainement disponible, montée et diffusée sur la chaîne officielle des Rencontres Galactiques.

Des témoignages clés
Deux interventions majeures sont venues enrichir cette édition des Rencontres Galactiques.
La première fut celle du colonel Jack Krine, figure éminente de l’aviation française. Ancien pilote de chasse et instructeur sur Mirage III, il a intégré la Patrouille de France en 1977 pour deux saisons consécutives. Sa carrière l’a ensuite conduit à devenir commandant de bord chez Air Inter puis instructeur sur Airbus A320.
Au total, il a pris les commandes de 42 types d’appareils et continue encore aujourd’hui à voler au sein de la patrouille acrobatique Tranchant. Officier de la Légion d’honneur, officier de l’Ordre national du Mérite et médaillé de l’aéronautique, il demeure un témoin privilégié du phénomène OVNI en France, notamment depuis son observation marquante en 1973 d’un engin aux capacités hors normes lors d’un vol d’entraînement sur Mirage III.
Le second témoignage, plus singulier mais tout aussi marquant, fut celui de Robert Lortal, connu comme témoin central du livre OVNIS en France de Georges Metz. Dans les années 1970, il raconte avoir vécu durant deux ans, dans sa ferme familiale de l’Aveyron, des contacts réguliers avec des êtres d’apparence humaine venus d’ailleurs.
Ces derniers lui auraient proposé de les accompagner jusqu’à une base souterraine secrète située dans l’Himalaya. Là, il dit avoir reçu un enseignement en yoga et méditation avancés, et pris part à un programme de peuplement aux côtés d’un guide, d’une biologiste et d’une ethnologue. De retour dans son village après un an d’absence, il attendra quatre décennies avant de partager publiquement cette expérience extraordinaire.

Un spectacle de clôture en plein air
Le domaine de Valsoyo, véritable écrin naturel, a offert un cadre exceptionnel à la clôture de l’événement. La cérémonie de fermeture s’est transformée en un spectacle grandiose, mêlant jeux de lumière, ambiance sonore immersive et feux d’artifice, pour le plus grand émerveillement du public.
En guise de conclusion de cette première session du troisième volet des Rencontres Galactiques, Elena Danaan a partagé une communication avec Thor Han Eredyon en direct. Un discours empreint de réconfort, invitant l’assemblée à lever les yeux vers le ciel et à rester attentive aux signes venus d’ailleurs.
Alors, OVNI ou pas OVNI ?
Et bien non, du moins pas de notre côté — malgré des regards persistants tournés vers le ciel tout au long de la cérémonie de clôture. Fidèles à notre devoir de transparence, nous nous devons de vous livrer cette réponse sans détour.
Cela dit, certains participants ont photographié ce qui semblerait être un vaisseau, dans la journée du samedi 02 aout. Nous vous diffusons le cliché sans interprétation, à chacun de se forger sa propre opinion.
En attendant, nous vous donnons rendez-vous très bientôt sur notre antenne, où nous recevrons plusieurs intervenants de cette édition pour revenir en profondeur sur leurs témoignages et leurs analyses.


Sophie
Merci pour cet article ainsi que votre chaîne. Cela fait du bien de ne pas se sentir seule à vivre des expériences considérées par la société comme “perchées”. Je suis née en 1972 et je me considère comme étant starseed, ayant recoupé mon vécu avec celui d’autres personnes, le livre d’Agnès Stevenin m’a d’ailleurs beaucoup aidé dans ce sens. C’est tout de même assez complexe de récupérer toutes ses facultés, il y a beaucoup d’interférences dans cette dimension. C’est pourquoi, vos partages écrits et vidéos sont essentiels, donc, encore merci et on lâche rien 🤗
Valérie Corbineau
Je vous remercie pour cet article très objectif et fidèle à ce que j’ai moi-même vécu lots de cette première session des Rencontres Galactiques 3. Je souhaiterais ajouter que les vaisseaux étaient bien là : le ressenti du niveau vibratoire très élevé sur place était dû à leur présence. De plus, s’ils n’étaient pas facilement visibles à l’œil nu dans la journée, ils l’étaient sur les photos prises du ciel bleu zoomées. Quant au dernier soir, après le spectacle, nous avons eu la chance, moi, mes amis et plusieurs autres personnes, d’en apercevoir. J’ai même une vidéo très intéressante que vous pouvez trouver sur mon profil FB (que je vais reporter dans la foulée ;-) . ). Un grand merci d’aider à la connaissance et la divulgation sur ce sujet très important pour notre avenir.
JC
J’étais présent, aux RG2 et 3, votre article résume bien les conférences. L’atmosphère des RG2 était plus intense . J’ai trouvé la conférence de JP un peu décevante, et un peu trop show à l’américaine, j’aurais aimé qu’il nous parle plus en détails de ses missions, mais bon il n’a peut être pas le droit, mais cela n’enlève en rien à ses chaleureuses valeurs humaines.
J’ai trouvé aussi que la traduction simultanée pas assez fluide, mais il est vrai que nos amis américains parlent vite.
Moi non plus je n’ai pas vu de vaisseaux, hélas.
Vivement le premier contact.
ANNE Elisabeth
Bonsoir cher Rudy, et merci pour cette retrospective fidele à nos ressentis…
J ai participé à la 2ieme session,(5 et 6 août) où nous avons eu droit un ‘questions-réponses’ fort édifiant en direct avec Thor Han grâce à notre merveilleuse Emissaire Elena….
Un petit bémol, lors de la traduction en français de l intervention de Paul Stonehil, qui était assez décousue, et donc difficile à suivre en terme de compréhension … dommage.
La cérémonie de fermeture – après un concert de grande qualité – nous a semblé un peu courte par rapport à l an passé, car différente, avec un bref passage ‘surprise’ d’ Elena en communication directe avec Oona … (Thor Han nous aurait il snobé ? … je plaisante… )
Cette expérience nous remplit d’une exceptionnelle énergie, après des échanges d’une incroyable qualité, et nous propulse vers une sacrée mission de ‘porteurs de lumière’ !
Bravo et merci à tous !
vialle
quelle belle assemblée j aurais aimer participé a l écoute de témoins parfois très engagé cela fait plaisir de l éveil des consciences qui se fait peu a peu . jacques